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Assaillis par une foule des milliers d’idées chaque jour, le cerveau expérimente parfois une légère forme de transe hypnotique : lorsque vous courrez sur les quais de la Garonne par exemple, et que vous êtes concentré sur vos pensées, si vous conduisez sur la rocade et que vous ratez la sortie, perdu dans vos pensées, ou encore que vous marchez dans le parc de Majolan-Blanquefort et que vous ne faites pas attention où vous portent vos pas, tout concentré que vous êtes sur autre chose. C’est une forme légère d’hypnose à Bordeaux que l’on peut tester au quotidien.
Pour parvenir à cet état entre veille et sommeil, un état modifié de conscience, il y a deux courants d’hypnose à Bordeaux : l’hypnose classique et l’hypnose ericksonienne. La première fonctionne avec des suggestions directes, qui seront les mêmes pour tous les sujets ayant les mêmes problèmes. La deuxième, développée par Milton Erickson au milieu du XXème siècle, ne cherche pas à éliminer les symptômes mais à en demander la signification à l’inconscient en sollicitant sa créativité pour qu’il exprime ce qui pourrait être changé, afin de rendre la situation moins difficile.
C’est le cas surtout de l’hypnose ericksonienne, qui fonctionne avec une stimulation de l’imagination, moins de l’hypnose classique où le praticien formule des suggestions pour que le cerveau associe deux idées entre elles. Avec la nouvelle hypnose, l’accent est mis sur le patient, et sa relation avec le thérapeute, grâce à des échanges et une communication. Erickson a poussé plus loin sa méthode pour faire en sorte que le patient lui-même participe à sa mise en condition hypnotique ; le praticien utilise alors des métaphores pour que l’inconscient du sujet trouve lui-même et choisisse les solutions à ses problèmes.
Le fonctionnement psychologique du patient est déconnecté de la réalité environnante avec l’hypnose à Bordeaux et ce lâcher-prise permet de retrouver une certaine façon de penser « originale », première, à laquelle on se réfère comme un état. C’est ce mode de fonctionnement qui fait apparaître de nouvelles possibilités, par exemple d’actions supplémentaires de l’esprit sur le corps, ou bien d’un travail psychologiques à un niveau inconscient. Le corps lui-même peut s’entraîner à faire abstraction de la réalité, comme le montre l’expérience de Platonov en Russie en 1957 : il accélère la cicatrisation et la coagulation d’une plaie ouverte chez un sujet hypnotisé, au son d’un métronome, et ensuite le seul son, puis seulement le nom « métronome » suffisent à faire coaguler le sang.
De plus en plus fréquemment, l’état hypnotique est utilisé pour remplacer les anesthésies générales lors de courtes opérations chirurgicales. On lui ajoute simplement une anesthésie locale, mais il permet d’éviter l’absorption de trop de médicaments, et le patient récupère beaucoup plus vite et passe moins de temps à l’hôpital. L’anesthésiste entretient une conversation hypnotique avec le patient pendant toute la durée de l’opération, pour s’assurer qu’il ne quitte pas cet état second. C’est une méthode à laquelle tous les praticiens ne sont pas formés et qui ne s’adapte pas aux longues opérations chirurgicales, mais qui autrement est bénéfique à la fois pour le patient et la sécurité sociale !
L’hypnose à Bordeaux peut vous permettre de soigner des troubles psychologiques comme le stress, un important motif de consultation, les phobies, les névroses, l’anxiété, mais aussi les problèmes d’impuissance, de frigidité, les problèmes de trac ou de mémoire, etc. Elle est aussi efficace contre les troubles psychosomatiques, contre lesquels parfois la médecine conventionnelle se révèle impuissante, comme l’eczéma, le psoriasis, la spasmophilie, les rhinites à répétition, des troubles de la voix, ou de l’asthme. Cette technique fonctionne aussi pour guérir des maux physiques, comme des ulcères, des colites ou des diarrhées.
L’arrêt du tabac est l’exemple le plus flagrant, qui fonctionne dans 80% des cas. L’hypnose à Bordeaux aide également le patient à lutter contre les effets du sevrage, la sensation de manque, l’irritation que cela peut engendrer, etc. Son action permet aussi de renforcer la volonté, dans le cadre d’un sevrage tabagique ou pour guérir de troubles du comportement alimentaires comme l’anorexie, la boulimie, ou encore l’orthorexie. Grâce à des suggestions, le praticien va faire en sorte d’apaiser le rapport à la nourriture, qu’il ne soit plus conflictuel.
Rassurez-vous, il n’est pas possible de vous faire faire n’importe quoi sous état hypnotique : le cerveau possède des barrières de sécurité qui vous empêcheront de faire quelque chose dérogeant à vos principes et à vos valeurs. C’est bien toujours vous qui conservez la maîtrise de ce que vous dites et faites, c’est simplement une partie plus profonde de votre conscience qui s’exprime. Enfin, il faut être conscient que lors d’une séance d’hypnose à Bordeaux, toutes les évocations que permet d’exprimer l’état hypnotique ne peuvent être que partiellement véridiques ; lorsque la mémoire rencontre des failles dans la structure des souvenirs, elle comble avec des éléments extérieurs et fait de la reconstruction.
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