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Pourquoi choisir de demander une séance d’hypnose à Paris ? Pour lutter contre les maux de tête, par exemple ! Le mal de tête touche de nombreux individus, particulièrement dans les grandes villes – où les habitants sont soumis à des bruits plus élevés et à un stress plus intense. Une étude a été faite en Hollande sur 169 patients (en juillet 2000) souffrant de céphalées de tension : tous ont éprouvé un soulagement après l’hypnose ou l’auto-hypnose !
D’une façon générale, l’hypnose peut soulager les nombreux problèmes physiques et psychologiques dont souffrent les individus comme les insomnies, le stress, les douleurs, les troubles digestifs. Dans certaines démarches de soin, l’hypnose peut également intervenir comme un supplément : pour arrêter le tabac, 80 % des individus tentant l’hypnose parviennent à leurs fins. Pour les cures d’amincissement, l’hypnose a également déjà prouvé son utilité.
L’hypnose ericksonienne vise à modifier légèrement l’état de conscience en vue d’accéder à l’inconscient. L’objectif final est d’aider le patient à régler ses propres problèmes. Au même titre qu’une psychothérapie, cette méthode part du principe que chaque personne possède en elle les ressources pour faire face aux situations de la vie. La participation active de l’individu est donc indispensable à la réussite de la thérapie.
Par l’intermédiaire de la relaxation, le thérapeute induit un état hypnotique chez le patient. Il se situe comme un guide pour axer la pensée de l’individu sur des souvenirs positifs, des bonnes ressources. Le professionnel va également dans l’imaginaire du patient, pour l’aider à penser quelles pourraient être les clés de son bien-être. Une séance dure environ une heure et peut être renouvelée 5 à 10 fois, à raison d’un rendez-vous hebdomadaire.
Une séance d’hypnose à Paris est-elle accessible à n’importe qui ? En effet, beaucoup de personnes peinent à croire en l’efficacité de la méthode et s’imaginent difficilement hypnotisés. Pourtant, selon l’échelle de « suggestibilité hypnotique » réalisée par l’Université de Stamford, seulement 5 % d’entre nous seraient réfractaires à l’hypnose. Si le praticien est bien choisi, il semble donc que l’état d’hypnose soit facile à atteindre.
Puisque l’hypnose peut aider à résoudre de nombreux problèmes de la vie, elle peut être demandée par des individus aux profils très variés. Les grands stressés sont particulièrement concernés par cette pratique puisqu’ils peuvent trouver, grâce à l’hypnose, une nouvelle sérénité.
Au XVIIIe siècle, le docteur Anton Mesmer utilisait des « passes magnétiques » afin de soigner les crises d’hystérie et autres psychoses de ses patients. Au XIXe, l’Abbé Faria a été le premier à utiliser l’injonction « Dormez » pour mettre les individus en état d’hypnose. Ces différents moments constituent l’histoire et la base théorique de l’hypnose. Le terme a été utilisé pour la première fois en 1840 par James Braid, médecin écossais. Par la suite, Charcot et Freud ont développé la notion, malgré les scepticismes de l’époque.
Aujourd’hui, de nombreux praticiens proposent de réaliser de l’hypnose. Leur méthode consiste à induire un état modifié de la conscience (EMC), entre veille et sommeil. L’individu se trouve dans une « transe » lui permettant de retrouver facilement l’intégralité de ses souvenirs, de réaliser une analyse fine de ses émotions. Contrairement aux mythes, on ne peut pas obliger un individu hypnotisé à faire une action contre sa volonté. En revanche, il est possible d’accéder à ses pensées enfouies pour mieux soulager ses blocages.
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